Véhicules Ford d’après-guerre > Frontenac

Frontenac fut gouverneur de la Nouvelle-France au cours de la deuxième moitié du 17e siècle. Son nom avait été donné à une voiture canadienne construite par Durant en 1931. Lorsque Ford du Canada lança une voiture compacte en 1960, il semblait étrange qu'elle lui donne un nom déjà utilisé par une autre entreprise. Mais après 29 ans, seuls les plus âgés et les plus passionnés des amateurs de la petite histoire automobile s'en souvenaient.

 

L'entreprise Ford du Canada limitée œuvrait à maintenir une compétition saine et juste entre ses deux chaînes de concessionnaires. La division Mercury-Meteor offrait un modèle comparable à presque tous les modèles vendus par la division Ford.

 

Ainsi, lorsque la compacte Falcon 1960 fit son apparition dans les salles d’exposition Ford à travers le Canada, les concessionnaires Mercury présentèrent la Frontenac. C'était leur voiture compacte offrant une solution de rechange aux acheteurs. La Frontenac était une marque à part entière, ce n'était ni une Mercury, ni une Meteor. C'était une Frontenac.

 

Sa calandre en deux sections était dotée de nombreuses barres verticales. Chacune des sections rappelait la forme d’une fusée pointant vers le centre. Au centre se trouvait un disque chromé orné d’une feuille d’érable rouge. Cette plaque était fixée à la calandre à l’aide de deux longues barres horizontales situées de chaque côté.

 

Une flèche chromée située sur l'aile avant était elle aussi ornée d’une feuille d’érable rouge. Superposées, trois baguettes chromées servant à fendre l'air se trouvaient à l'extrémité de l'aile arrière.

 

La serrure et la poignée du coffre affichaient aussi une feuille d’érable rouge. Une petite lentille rouge offrait une variante intéressante par rapport aux feux arrière de la Falcon. Bien que beaucoup plus petites que les feux de la Falcon, ces lentilles semblaient être aussi grosses lorsqu'elles étaient allumées. Les enjoliveurs larges à plusieurs biseaux réfléchissaient la lumière des lentilles en saillie.

 

Au départ, seules des berlines à 2 ou 4 portes étaient offertes, mais des familiales à 2 ou 4 portes seront plus tard mises en marché. Tout comme la Falcon, elle n'offrait qu'une seule gamme, mais l'habillage DeLuxe était offert en option.

 

d’un point de vue mécanique, la Frontenac était identique à la Falcon. Cela signifiait bien sûr un moteur 6 cylindres de 144 po3 d’une puissance de 90 chevaux.

 

Cette variante canadienne connut un grand succès auprès des acheteurs réclamant une voiture compacte. Plus de 8400 voitures furent vendues au cours de l'année 1960. Ce qui la plaçait devant la Valiant et la Corvair. Les ventes combinées de Ford du Canada pour la Falcon et la Frontenac comptaient pour 5,23 % du total du marché des voitures neuves en 1960.

 

Malgré sa popularité, la Frontenac ne sera offerte qu'une seule année. En 1961, les concessionnaires Mercury proposaient plutôt la Comet. Les concessionnaires Mercury américains l'offraient déjà au cours d’une partie de l'année 1960, mais au Canada, la production de la Comet ne commencera pas avant l'année-modèle 1961.

Frontenac fut gouverneur de la Nouvelle-France au cours de la deuxième moitié du 17e siècle. Son nom avait été donné à une voiture canadienne construite par Durant en 1931. Lorsque Ford du Canada lança une voiture compacte en 1960, il semblait étrange qu'elle lui donne un nom déjà utilisé par une autre entreprise. Mais après 29 ans, seuls les plus âgés et les plus passionnés des amateurs de la petite histoire automobile s'en souvenaient.

 

L'entreprise Ford du Canada limitée œuvrait à maintenir une compétition saine et juste entre ses deux chaînes de concessionnaires. La division Mercury-Meteor offrait un modèle comparable à presque tous les modèles vendus par la division Ford.

 

Ainsi, lorsque la compacte Falcon 1960 fit son apparition dans les salles d’exposition Ford à travers le Canada, les concessionnaires Mercury présentèrent la Frontenac. C'était leur voiture compacte offrant une solution de rechange aux acheteurs. La Frontenac était une marque à part entière, ce n'était ni une Mercury, ni une Meteor. C'était une Frontenac.

 

Sa calandre en deux sections était dotée de nombreuses barres verticales. Chacune des sections rappelait la forme d’une fusée pointant vers le centre. Au centre se trouvait un disque chromé orné d’une feuille d’érable rouge. Cette plaque était fixée à la calandre à l’aide de deux longues barres horizontales situées de chaque côté.

 

Une flèche chromée située sur l'aile avant était elle aussi ornée d’une feuille d’érable rouge. Superposées, trois baguettes chromées servant à fendre l'air se trouvaient à l'extrémité de l'aile arrière.

 

La serrure et la poignée du coffre affichaient aussi une feuille d’érable rouge. Une petite lentille rouge offrait une variante intéressante par rapport aux feux arrière de la Falcon. Bien que beaucoup plus petites que les feux de la Falcon, ces lentilles semblaient être aussi grosses lorsqu'elles étaient allumées. Les enjoliveurs larges à plusieurs biseaux réfléchissaient la lumière des lentilles en saillie.

 

Au départ, seules des berlines à 2 ou 4 portes étaient offertes, mais des familiales à 2 ou 4 portes seront plus tard mises en marché. Tout comme la Falcon, elle n'offrait qu'une seule gamme, mais l'habillage DeLuxe était offert en option.

 

d’un point de vue mécanique, la Frontenac était identique à la Falcon. Cela signifiait bien sûr un moteur 6 cylindres de 144 po3 d’une puissance de 90 chevaux.

 

Cette variante canadienne connut un grand succès auprès des acheteurs réclamant une voiture compacte. Plus de 8400 voitures furent vendues au cours de l'année 1960. Ce qui la plaçait devant la Valiant et la Corvair. Les ventes combinées de Ford du Canada pour la Falcon et la Frontenac comptaient pour 5,23 % du total du marché des voitures neuves en 1960.

 

Malgré sa popularité, la Frontenac ne sera offerte qu'une seule année. En 1961, les concessionnaires Mercury proposaient plutôt la Comet. Les concessionnaires Mercury américains l'offraient déjà au cours d’une partie de l'année 1960, mais au Canada, la production de la Comet ne commencera pas avant l'année-modèle 1961.

Frontenac fut gouverneur de la Nouvelle-France au cours de la deuxième moitié du 17e siècle. Son nom avait été donné à une voiture canadienne construite par Durant en 1931. Lorsque Ford du Canada lança une voiture compacte en 1960, il semblait étrange qu'elle lui donne un nom déjà utilisé par une autre entreprise. Mais après 29 ans, seuls les plus âgés et les plus passionnés des amateurs de la petite histoire automobile s'en souvenaient.

 

L'entreprise Ford du Canada limitée œuvrait à maintenir une compétition saine et juste entre ses deux chaînes de concessionnaires. La division Mercury-Meteor offrait un modèle comparable à presque tous les modèles vendus par la division Ford.

 

Ainsi, lorsque la compacte Falcon 1960 fit son apparition dans les salles d’exposition Ford à travers le Canada, les concessionnaires Mercury présentèrent la Frontenac. C'était leur voiture compacte offrant une solution de rechange aux acheteurs. La Frontenac était une marque à part entière, ce n'était ni une Mercury, ni une Meteor. C'était une Frontenac.

 

Sa calandre en deux sections était dotée de nombreuses barres verticales. Chacune des sections rappelait la forme d’une fusée pointant vers le centre. Au centre se trouvait un disque chromé orné d’une feuille d’érable rouge. Cette plaque était fixée à la calandre à l’aide de deux longues barres horizontales situées de chaque côté.

 

Une flèche chromée située sur l'aile avant était elle aussi ornée d’une feuille d’érable rouge. Superposées, trois baguettes chromées servant à fendre l'air se trouvaient à l'extrémité de l'aile arrière.

 

La serrure et la poignée du coffre affichaient aussi une feuille d’érable rouge. Une petite lentille rouge offrait une variante intéressante par rapport aux feux arrière de la Falcon. Bien que beaucoup plus petites que les feux de la Falcon, ces lentilles semblaient être aussi grosses lorsqu'elles étaient allumées. Les enjoliveurs larges à plusieurs biseaux réfléchissaient la lumière des lentilles en saillie.

 

Au départ, seules des berlines à 2 ou 4 portes étaient offertes, mais des familiales à 2 ou 4 portes seront plus tard mises en marché. Tout comme la Falcon, elle n'offrait qu'une seule gamme, mais l'habillage DeLuxe était offert en option.

 

d’un point de vue mécanique, la Frontenac était identique à la Falcon. Cela signifiait bien sûr un moteur 6 cylindres de 144 po3 d’une puissance de 90 chevaux.

 

Cette variante canadienne connut un grand succès auprès des acheteurs réclamant une voiture compacte. Plus de 8400 voitures furent vendues au cours de l'année 1960. Ce qui la plaçait devant la Valiant et la Corvair. Les ventes combinées de Ford du Canada pour la Falcon et la Frontenac comptaient pour 5,23 % du total du marché des voitures neuves en 1960.

 

Malgré sa popularité, la Frontenac ne sera offerte qu'une seule année. En 1961, les concessionnaires Mercury proposaient plutôt la Comet. Les concessionnaires Mercury américains l'offraient déjà au cours d’une partie de l'année 1960, mais au Canada, la production de la Comet ne commencera pas avant l'année-modèle 1961.

Frontenac fut gouverneur de la Nouvelle-France au cours de la deuxième moitié du 17e siècle. Son nom avait été donné à une voiture canadienne construite par Durant en 1931. Lorsque Ford du Canada lança une voiture compacte en 1960, il semblait étrange qu'elle lui donne un nom déjà utilisé par une autre entreprise. Mais après 29 ans, seuls les plus âgés et les plus passionnés des amateurs de la petite histoire automobile s'en souvenaient.

 

L'entreprise Ford du Canada limitée œuvrait à maintenir une compétition saine et juste entre ses deux chaînes de concessionnaires. La division Mercury-Meteor offrait un modèle comparable à presque tous les modèles vendus par la division Ford.

 

Ainsi, lorsque la compacte Falcon 1960 fit son apparition dans les salles d’exposition Ford à travers le Canada, les concessionnaires Mercury présentèrent la Frontenac. C'était leur voiture compacte offrant une solution de rechange aux acheteurs. La Frontenac était une marque à part entière, ce n'était ni une Mercury, ni une Meteor. C'était une Frontenac.

 

Sa calandre en deux sections était dotée de nombreuses barres verticales. Chacune des sections rappelait la forme d’une fusée pointant vers le centre. Au centre se trouvait un disque chromé orné d’une feuille d’érable rouge. Cette plaque était fixée à la calandre à l’aide de deux longues barres horizontales situées de chaque côté.

 

Une flèche chromée située sur l'aile avant était elle aussi ornée d’une feuille d’érable rouge. Superposées, trois baguettes chromées servant à fendre l'air se trouvaient à l'extrémité de l'aile arrière.

 

La serrure et la poignée du coffre affichaient aussi une feuille d’érable rouge. Une petite lentille rouge offrait une variante intéressante par rapport aux feux arrière de la Falcon. Bien que beaucoup plus petites que les feux de la Falcon, ces lentilles semblaient être aussi grosses lorsqu'elles étaient allumées. Les enjoliveurs larges à plusieurs biseaux réfléchissaient la lumière des lentilles en saillie.

 

Au départ, seules des berlines à 2 ou 4 portes étaient offertes, mais des familiales à 2 ou 4 portes seront plus tard mises en marché. Tout comme la Falcon, elle n'offrait qu'une seule gamme, mais l'habillage DeLuxe était offert en option.

 

d’un point de vue mécanique, la Frontenac était identique à la Falcon. Cela signifiait bien sûr un moteur 6 cylindres de 144 po3 d’une puissance de 90 chevaux.

 

Cette variante canadienne connut un grand succès auprès des acheteurs réclamant une voiture compacte. Plus de 8400 voitures furent vendues au cours de l'année 1960. Ce qui la plaçait devant la Valiant et la Corvair. Les ventes combinées de Ford du Canada pour la Falcon et la Frontenac comptaient pour 5,23 % du total du marché des voitures neuves en 1960.

 

Malgré sa popularité, la Frontenac ne sera offerte qu'une seule année. En 1961, les concessionnaires Mercury proposaient plutôt la Comet. Les concessionnaires Mercury américains l'offraient déjà au cours d’une partie de l'année 1960, mais au Canada, la production de la Comet ne commencera pas avant l'année-modèle 1961.